Les "roule-toujours" disputeront dimanche leur titre de champion. L'équipe France-Soir, qui comprendra Pieters, Cahu, Belotti, Pare, Espargillière, Noblecourt, Armani et Rimbeur, a rencontré dans nos bureaux celle de notre confrère Paris-presse. La lutte a été aussitôt entamée. On reconnaît au premier plan Pieters qui dispute à Prestat (chef de file concurrent) "l'affiche-mascotta" de ce championnat.
Article courtesy of Jean Pieters
Dimance après-midi, autour de Paris, s'est disputé le traditionnel championnat des porteurs de journaux. Parti avec une charge de 15 kgs sur son parte-bagage, Pieters à passé en vainqueur la ligne d'arrivée, avenue Junot.
Après une course animée tant par les promeneurs des boulevards que par les concurrents, quatra hommes dominent le lot des 60 porteurs. Finalement Pieters fausse compagnie à ses compagnons de fugue et termine au sommet de la côte du boulevard Junot avec 500 mètres d'avance, suivi de près par les motards concurrents professionnels redoutés. |
Le départ de la sympathique épreuve des "roule-toujours" vient d'être donné en plein cœur du quartier de la presse, rue Montmartre et déjà Pieters, lesté des 15 kg. d'invendus anime la course, roulant parfois à près de 50 km. à l'heure comme pour la livraison d'une édition spéciale. |
Si quotidiennement les roule-toujours font la course dans leur tournée de livraison, ils ne re¸oivent jamais de bouquet lorsqu'ils arrivent à battre le concurrent. Une fois n'est pas coutume et Pieters, le gagnant re¸eit avec satisfaction de La Houppe, fleurs et félicitations.
CLASSEMENT: 1. Jean Pieters (France-Soir) 57' 13" (Cycle Vanoli); 2. Solente (INF); 3. Prestat (Paris-Presse); 4. Friedrich (Ce Soir); 5. Pellon (N.M.P.P.); 6. Cathelin (Sport Complet); 7. Toros (Ind.); 8. Chapuis (Ce Soir); 9. Dupont (N.M.P.P.); etc...
Jean Pieters a gagné hier l'épreuve toujours très parisienne et pittoresque du championnat des "roule-toujours", réservé aux porteurs de journaux. Jean Pieters, que l'on voit, ici, félicité par une Montmartroise, a triomphé après une lutte acharnée dans les rues de Paris, de Stevens, Cathelin et de notre représentant Friedrich.
Article courtesy of Jean Pieters
Aujourd'hui comme hier, ils roulent... puisque ce sont les roule-toujours!... Mais hier il ne blaguaient pas entre eux tout en roulant, il n'interpelaient pas les "p'tites mères" qui traversent sans regarder, ils ne sifflaient pas d'admiration en contemplant les "pin-ups" attendant l'autobus.
Hier n'était la corrida annuelie, la folle ruée à travers les rues de Paris... les autobus s'écartaient pour les laisser passer et, pour une fois, la police à moto, leur faisait la route.
Le meilleur, ce fut Jean Pieters, le titi parisien au nez en trompette, farouche animateur des américaines du Vel' d'Hiv' et aussi bon routier sous les couleurs du Vélo-Club de Bondy.
Malgré le colis encombrant de journaux placé sur le porte-bagages, le "gars Jean" escalada les pentes de la Butte avec autant d'aisance que le boulevard Sérurrier où il était détaché irrésistiblement.
Il termina remarquablement frais. Derrière lui, ce fut le rush de tout un peloton, la deuxieme place enlevée à l'arraché par l'élégant Guy Solente qui, du même coup, assurait le succès de son équipe par un tout petit point sur celle de Ce Soir, seconde...
Le vainqueur 1948, Friedrich, terminant quatrième, très près de Solente et Prestat, battant Cathelin, gagnant l'an dernier.
Tous avaient été valliants... et rapides, y compris Mme Andrée Régnier, seuls concurrents.
Dans le rue Lepic, toute proche, les "bolides" de la course au ralenti de Liberation montaient à 50 mètres à l'heure de moyenne.
Article courtesy of Jean Pieters
Pieters, qui est un de nos bons pistards (en américaine), exerce en semaine le métier de porteur de journaux à France-soir depuis trois ans.
On peut s'étonner que cet excellent coureur n'ait pas réussi plus tôt à se parer du titre de champion de sa corporation.
- En 1947 j'ai été éliminé à la suite d'une chute, en 1948 j'ai terminé troisième, en 1949 second derrière Cathelin. C'est lui que je craignais le plus. Quand il démarra sur les pavés avant la Porte Charenton je n'ai pas hésiter à mener la chasse. C'est un rouleur auquel il ne faut pas laisser prendre dix mètres. J'avais commis cette erreur l'an passé. Cette fois je le surveillais de près et j'ai contre-attaqué aussitôt sans lui laisser le temps de souffler, explique-t-il.
Le fait est que Jean Pieters a fait preuve de beaucoup d'à-propos pour s'enfuir. Mais il ne doit pas son titre à cette seule initiative, il a dominé physiquement tous ces adversaires.
Avec quinze kilos de charge sur son porte-bagages, il a développe son échappés victorieuse à 45 à l'heure en se faufilant parmi les voitures avec autant d'adresse que dans le peloton des américaines grenelloises.
Jean Pieters (28 ans) a repris dès ce matin à France-soir ses tournées à travers Paris tout en songeant que sa victoire populaire lui vaudra sa sélection dans le prochaine américaine du Vél' d'Hiv' ou on coup de pédale peut lui valoir un succès certain.
Article courtesy of Jean Pieters
Une animation extraordinaire - pour un dimanche - règne rue Montmartre, pour le départ du Onzième Championnat des Porteurs de Journaux. Un public nombreux assiste aux opérations de départ; tout au long du parcours, nous retrouvons une foule dense - surtout place Blanche - qui suit avec intérêt les ébats des vedettes du jour.
Jean Pieters, excellent pistard - il brilla l'an passé en américaine, - fut téméraire en lan¸ant une échappée qui semblait prématurée. Il réussit seul à conserver l'avantage, affichant une forme parfaite et dominant incontestablement le lot pourtant relevé des participants.
Dès le départ, donné à soixante-cinq concurrents, Provost attaque dans l'encombrement des voitures, Faubourg Montmartre, en se faufilant à travers le autobus.
Le train est très rapide et les vehicules nombreux.
Gênés par la circulation intense, les coureurs on du mal à suivre.
Le peloton rejoint Dupont, Solente et Cathelin après la porte de Montreuil; mais, en tête, Pieters maintient une belle allure à travers les usagers de la route: motos, voitures et autres. Il accelère après la porte des Lilas, roule à cinquante à l'heure et, malgré les efforts de Stevens, il accentue toujours son avance.
Pasty se porte en tête du peloton: mais Solente, Cathelin, et Prestat ne trouvent pas réagir: aussi, l'homme de France-Soir arrive avenue Junot tout qui et remporte le titre pour la première fois.
Une foule immense applaudit sa belle victoire, tandis que, derrière, pour la deuxième place, le sprint est lancé devant le... Gaumont. Solente, l'emporte par Prestat, très éprouvé, et quatorze autres coureurs.
Signalons que Samson fut l'un des meilleurs attaquants: que les mutilés Marthollin, Degères et Crost terminèrent courageusement cette dure épreuve: que Mme. Régnier fut encore à l'honneur, et que le directeur de la course applique parfaitement les règles des competitions.
Cette épreuve, très dangereuse en raison de la circulation intense qui règne dans Paris, se déroula sans incident. Tant mieux, mais il faut vraiment que les "roule-toujours" soient les virtuoses du vélo pour passer sans encombre à travers des difficultes illimltées et surtout qu'ils aient un sang froid et des réflexes de premier ordre. Cette année encore, ils ont bien mérité les honneurs de la capitale.
Jean Pieters franchit en vainqueur la ligne d'arrivée, en haut de l'avenue Junot |
Mlle Prudhomme, Miss Route et Piste, lui remet ensuite, avec un baisser, la coupe offerte par notre journal |
CLASSEMENT: 1er PIETERS Jean (France-Soir), en 57' 13", sur cycle VANOLI, pneus DUNLOP; 2. à 40", Solente (Information); 3. Prestat (Paris-Presse); 4. Friedrich (Ce Soir); 5. Pellon (N.M.P.P.); 6. Cathelin (Sport-Complet); 7. Toros (ind.); 8. Chapuis (Ce Soir); 9. Dupont (N.M.P.P.); 10. Bacon (Information); 11. Fay (Ind.); 12. Corchia (Paris-Presse); 13. Pasty (N.M.P.P.); 14. Samson (Paris-Presse); 15. Stevens (Sport-Complet); 16. Cahu, en 58' 45" (France-Soir); 17. Defor (Ce Soir); 18. Berthaud (St-Nazaire); 19. Boucher (Information); 20. Bourneuf (Information); 21. Belotti (France-Soir); 22. Letellier (Ce Soir); 23. Haas (Information); 24. Provost (Ce Soir); 25. Darcq (Information); 26. Forter (Information); 27. Pattin (Information); 28. Vallée (Ind.); 29. Jacquet (Paris-Presse); 30. Malfray (Ce Soir); 31. Le Borgne; 32. Noblane; 33. Vinsonneau; 34. Martin; 35. Genin; 36. Vannier; 37. Delsault; 38. Espagillière; 39. Bonnafy; 40. B. André; 41. Ory; 42. Poty; 43. Lemaire; 44. Paré; 45. Régnier; 46. Remy; 47. Bernard; 48. Noblecourt; 49. Marthollin; 50. Chapa; 51. Banzet; 52. Theizen; 53. Degères; 54. Pietto; 55. Bequisseau; 56. Marche; 57. Crost.
CHALLENGE VERDIERE: 1. Information, 44 points; 2. Ce Soir, 45 points; 3. Paris-Presse, 50 points; 4. N.M.P.P., 53 points; 5. France-Soir, 64 points; 6. Sport-Complet, 67 points.
Article courtesy of Jean Pieters
Grosse animation à l'angle des rues Réaumur et Montmartre. C'est là qu'ont lieu les opérations de contrôle et de départ du 9e championnat des porteurs de journaux, les "roule-toujours" comme on les appelle.
Soixante-cinq concurrents viennent prendre possession des quinze kilos de charge qu'ils auront à emmener sur leurs porte-bagages pour disputer à travers et autour de Paris leur championnat.
L'unique concurrente, Mme Régnier, qui se distingua dans les compétitions féminines et qui, elle aussi, fait partie de la corporation, ouvre le parcours, en compagnie de quelques vétérans et même un manchot.
Elle précède les champions des "roule-toujours" de quelques minutes.
Dans la montée de Notre-Dame-de-Lorette, Mme Régnier se permet de lâcher ses compagnons.
Et on voit aussitôt déboucher le peloton des véritables compétiteurs au titre de champion des "roule-toujours".
Prestat se détache en montant vers la place Clichy.
En tête du peloton, les vedettes de la corporations, Cathelin et Pieters, se distinguent et animent un chasse.
Dans la montée vers l'Etoile, Prestat a été rejoint, et c'est le jeune Stevens qui est passé à l'attaque.
Autour de l'Arc de Triomphe, il précède le peloton de quelques dizaines de mètres et fonce vers le Palais de Challiot.
Il est toujours en tête au moments où l'itinéraire emprunte les quais de la Seine. Il dépasse Mme Régnier, qui, malgré tout son courage et un fort beau coup de pédale, n'a pu mieux faire que les hommes.
Mais Stevens, pas plus que Prestat, ne put résister à la chasse qui se déclenche derrière lui. Il est rejoint avant le viaduc d'Auteuil.
C'est ensuite la ruée du peloton sur les mauvais pavés de boulevard Victor.
Solente et Cathelin passent à l'attaque, mais avant d'aborder la côte du boulevard Lefebvre, Pieters sprinte en tête du peloton et tout le monde recolle.
Le peloton s'étire dans la montée du boulevard Lefebvre. Prestat et Friedrich tentent à leur tour de s'enfuir, mais ils ne peuvent échapper a l'étreinte du peloton et, un peu avant la Porte d'Orleans, Prestat qui a appuyé ses efforts, se présente legerement détaché pour effectuer le changement de paquet.
Il est suivi dans cette operation par Pieters, Friedrich et Dupont.
Ces quatre hommes forment l'avant-garde du championnat des "roule-toujours" et dévalent à toute vitesse le boulevard Jourdan.
Avant la Porte d'Italie, Cathelin effectue un beau retour et rejoint les quatre fuyards sur les pavés avant la Porte de Charenton. Aussitôt un routier professionnel passe à l'attaque, mais Pieters réagit et fait récoller ses compagnons.
Dans le peloton de tête les démarrages fusent. Pieters appuie un peu plus fort sur les pédales et se détache avant la porte Dorée.
Friedrich, Dupont et Cathelin hésitent à entamer la chasse et le porteur de France-Soir s'en va seul dans l'escalade du boulelvard Mortier.
Stevens tente de le rejoindre tandis que Cathelin, Dupont et Friedrich ne tardent pas à être rejoints par le peloton.
Pieters s'en va d'une allure coulée et fonce à cinquante a l'heure à traver les voitures et les motos qui lui ouvrent la route. A la porte de Pantin son avance est de trois-cents mètres. Il l'augmentera encore dans l'avenue Jean-Jaurès et au carrefour Barbès.
Finalement au pied de la côte de boulevard Junot, où se juge l'arrivée, il possède cinq cents m. d'avance sur le peloton et ne peut lus être battu.
En effet, il escalade allègrement cette dernière rampe et remporte pour la première fois le titre de champion des "roule-toujours".
Derrière lui un sprint fougueux met aux prises Solente, Prestat et Friedrich à l'avant-garde du peloton.
Le stayer Solente réussit à prendre le meilleur devant Prestat qui, exténué, se relève avant la ligne.
CLASSEMENT: 1. Pieters (France-Soir) les 39 km en 57' 13"; 2. Solente (Information) à 37"; 3. Prestat (Paris-Presse); 4. Friedrich (Ce Soir); 5. Dupont (N.M.P.P.); 6. Cathelin (Sport-Complet); 7. Toros (Paris Pin-up); 8. Chapuis (Ce Soir); 9. Pellon (N.M.P.P.); 10. Bacon (Information); 11. Un peloton
Article courtesy of Jean Pieters
La foule parisienne n'a pas manque de fêter, comme à son habitude, les "roule-toujours".
Les encouragements fusèrent tout au long du parcours et l'ambiance, à l'arrivée en haut de l'avenue Junot, était particulièrement enthousiaste.
Il est vrai que La Houppa et ses collégues de la Butte trouvaient un auditoire prompt à saisir la moindre occasion pour se détendre.
Et la chanson des "roule-toujours" obtint un succès fort mérité.
Au refrain, tout le monde chantonnait: "roule-toujours, bien fièrement quand tu détales..."
A l'arrivée de Pieters, escorté d'un peloton, que dis-je, d'un escadron, de motocyclistes, la fièvre monta.
Et, dès que La Houppa eut donné le baiser traditionnel (plutôt deux fois qu'une!), émotion:
Le vainqueur avait disparu!
Heureusement, le second, Solente était là, tout prêt à jouer les rempla¸ants.
Cela ne fait rien, en avait eu chaud!
C'est d'ailleurs l'une des raisons qui provoqua l'envahissement du café de la Mère Catherine, un peu plus haut, sur la place.
Miraculeusement retrouvé, Pieters re¸ut un (nouveau) baiser de Miss Route et Piste et une coupe (Route et Piste également).
Mais, au fait, connaissez-vous Miss Route et Piste?
Non? Vous avez tort!
C'est une charmante blonde, prénom mée Micheline, toute souriante avec ses dix-huit printemps, et qui poursuit ses études de médicine.
Elle nous avons d'ailleurs avoir une but précis pour l'été prochain.
Elle aimerait suivre le Tour Cyclotourise à motocyclette.
Heureux pilote!...
Ah! j'oublias de vous dire que Mlle Micheline est (Aussi) la fille de M. Prudhomme, directeur des Nouvelles Messageries de la Presse.
[...]
Article courtesy of Jean Pieters
Article courtesy of Jean Pieters
Le traditionnel championnat des "roule-toujours" a connu hier son habituel succès tant sur le parcours que sur la Butte où l'arrivée était jugée.
Jean Pieters, routier et sixdayman prit cette fois la revanche sur le sort et franchit en vainqueur la ligne d'arrivée ave 37 secondes d'avance sur son second Solente qui battit au sprint Prestat et Friedrich.
Pieters réussit à prendre le large après le passage de la porte de Charenton et à conserver jusqu'a l'arrivée son avantage.
Avant cette décision, on avait enregistré différentes attaques.
Solente et Cathelin succédant à Prestat et Stevens attaquerent dans la montée du boulevard Lefebvre, puis ce furent ensuite Friedrich et Prestat qui tentèrent leur chance mais sans succès.
Car rien ne put réussir et ce fut la démarrage de Pieters qui fut déterminant et qui lui permit de s'assurer pour la première fois le titre des "roule-toujours" et la coupe "Route et Piste" offerte su vainqueur.
CLASSEMENT: 1. Pieters (France-Soir) les 39 km en 57' 13"; 2. Solente (Information) à 37"; 3. Prestat; 4. Friedrich; 5. Dupont; 6. Cathelin; 7. Toros; 8. Chapuis; 9. Pellon; 10. Bacon; 11. Fay; 12. Corchia; 13. Pasty; 14. Samson; 15. Stevens; 16. Cahu; 17. Defer; 18. Bertho; 19. Boucher; 20. Bourneuf, etc.
Article courtesy of Jean Pieters
Une fois de plus, Paris a tête ses "roule-toujours". Leur peloton, de quartier en quartier, a connu l'ovation de la foule. De la place Clichy à Montmartre... en passant pas les boulevards extérieurs, toute une cohorte pétaradante de motocyclistes leur a fait escorte.
C'est un champion qui, une fois encore, a gagné l'épreuve, Jean Pieters est l'un de ons meilleur "américaine" et dimanche dernier encore, il brillait au V´l' d'Hiv' où, voilà un an, il remportait, avec Georges Roux, une grande américaine devant tous les as.
Malgré le dur métier qu'il exerce, Pieters a su s'imposer comme un champion de course. Il est donc digne d'être celui de sa corporation: le champion 1950 des "roule-toujours".
Echappé dès la Porte Dorée, un peu après la moitié du parcours, Pieters est arrivée seul en haut de la dure rampe qui s'achève derrière le Moulin de la Galette. Tout un programme artistique, mis sur pied par les vedettes du C.S.M.P., avait fait prendre patience à la foule. On acclamait encore Pieters, lorsque tout un peloton apparut au dernier virage. En un sprint énergique, Guy Solente, routier et stayer, remporte la deuxième place devant Prestat et le vainqueur de 1948, Friedrich, leader de l'équipe de "Ce Soir".
Les champions de la piste l'emportaient sur les pure professionnels. C'est logique... Mais dans son ensemble, ce Critérium avait montré la qualité de nos "roule-toujours" qui n'ont pas au l'occasion peut-être de s'imposer comme leurs camarades.
Courageusement les attardés terminaient. Il fallait tenir jusqu'au bout pour le Challenge.
Article courtesy of Jean Pieters
Jean Pieters, winner of the Critérium des Porteurs de Journaux |
Jean Pieters crossing the finish line on ave Junot |
Jean Pieters with La Houppa
Jean Pieters during the race |
Jean Pieters with La Houppa |
Jean Pieters during the race |
Post-race publicity shot |
Post-race publicity shot |
Post-race publicity shot |
Photos courtesy of Jean Pieters
The winner's trophy |
Jean Pieters with the winner's trophy, 2006 |
Photos courtesy of Dominque Grandfils and Jean Pieters
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